Le risque legionellose
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Le risque legionellose
Parution de deux nouveaux guides d'aide à l'exploitation des tours aéroréfrigérantes.
Depuis 2006, les exploitants doivent faire contrôler leurs installations de refroidissement par un organisme agréé.
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Depuis 2006, les exploitants doivent faire contrôler leurs installations de refroidissement par un organisme agréé.
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Légionellose: une TAR suspectée en Bretagne
L’Institut national de veille sanitaire (InVS) vient de publier un rapport présentant les résultats d’enquêtes épidémiologiques et environnementales menées en Ille-et-Vilaine. 6 cas de légionellose, regroupés dans le temps et dans l’espace, avaient en effet été signalés à la Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (Ddass) d’Ille-et-Vilaine en janvier 2006.
L’éventualité d’une contamination par tours aéroréfrigérantes (TAR) a été envisagée. Les tours non recensées ont été recherchées et les conditions de fonctionnement et résultats d’autosurveillance examinés. Une TAR localisée à l’est de Rennes a été rendue responsable d’une partie des cas. Les éléments recueillis lors des investigations ont toutefois été insuffisants pour affirmer que les 8 cas étaient liés à cette seule installation.
Les résultats ont montré que la maîtrise du risque légionelle avait été mise en défaut pour trois TAR. De plus, l’autosurveillance de l’une d’elles a permis d’identifier une souche environnementale de légionelle identique à l’unique souche clinique isolée. Il s’agit de la souche «Rennes», identifiée lors de la survenue en 2000 d’un précédent épisode épidémique dans la ville du même nom. Une partie des cas de légionelloses a finalement été attribuée à cette source de contamination.
Source jdle
L’éventualité d’une contamination par tours aéroréfrigérantes (TAR) a été envisagée. Les tours non recensées ont été recherchées et les conditions de fonctionnement et résultats d’autosurveillance examinés. Une TAR localisée à l’est de Rennes a été rendue responsable d’une partie des cas. Les éléments recueillis lors des investigations ont toutefois été insuffisants pour affirmer que les 8 cas étaient liés à cette seule installation.
Les résultats ont montré que la maîtrise du risque légionelle avait été mise en défaut pour trois TAR. De plus, l’autosurveillance de l’une d’elles a permis d’identifier une souche environnementale de légionelle identique à l’unique souche clinique isolée. Il s’agit de la souche «Rennes», identifiée lors de la survenue en 2000 d’un précédent épisode épidémique dans la ville du même nom. Une partie des cas de légionelloses a finalement été attribuée à cette source de contamination.
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